Pour le savoir, Google vient de lancer une carte mondiale des bonnes résolutions.
Le principe est simple : vous entrez le code postal et le pays où vous vous trouvez et inscrivez votre résolutions parmi l’un des 8 thèmes proposés (famille, argent, bonne action…). Les vœux exprimés tombent au fur et à mesure sur la carte, dans leur langue d’origine et dans leur version traduite.
Les questions de sport et de santé ont, pour l’heure, la part belle. Pour un internaute flamand, ce sera “30 minutes de sport par jour”, en Angleterre, on veut nager trois fois par semaine ou courir un semi-marathon. Un Norvégien tentera “d’arrêter de boire”, tandis qu’en Finlande on va se mettre au yoga. De la Hongrie aux États-Unis, en passant par l’Indonésie, les fêtes de fin d’année ont laissé la conscience mauvaise à certains qui souhaitent “passer plus de temps avec (leurs) famille(s).” En Afrique du Sud on préfère “travailler moins pour gagner plus” et, ailleurs, se concentrer sur de nouveaux apprentissages : une troisième langue, le mandarin, jouer de la guitare…
Enfin – on n’échappe pas au cliché – La France a pour seul vœu exprimé… la cuisine, alors qu’au Japon, l’important pour 2013 sera de “travailler trois fois plus vite”.
Pour un Russe, ce sera moins simple. 2013 : “devenir une star”.
Au sommet de leur gloire en 2008-2009, les Netbooks devraient définitivement disparaître des rayons en 2013. Ces petits ordinateurs portables compacts aux prix remarquablement bas avaient connu leur heure de gloire il y a quatre ans. A l’époque, de nombreux jeunes utilisateurs optaient pour ces modèles compacts bon marché qui étaient facilement transportables. Certains professionnels avaient également opté pour une solution de mobilité qui leur permettaient de garder à portée de main un terminal pour encoder une facture ou un document destiné à l’un de ses clients.
La montée en puissance des tablettes et des ultrabooks aura précipité la chute des Netbooks, qui n’étaient plus produits que par ASUS et Acer en 2012. Si au premier trimestre 2010, la production de Netbooks représentait encore 2 millions d’appareils, elle était tombée à seulement 750.000 appareils au quatrième trimestre 2011.
Réduit à l’état de marché de niche, le Netbook ne séduit plus. Les derniers stocks devraient être écoulés en début d’année 2013 par le biais d’offres promotionnelles. Acer avait déjà indiqué l’année dernière qu’il ne produirait plus de Netbooks et ASUS lui a emboité le pas hier en annonçant la fin de la production de ses netbooks “Eee”. Une page de plus qui se tourne dans l’histoire de l’informatique, qui épouse de plus en plus le support tactile…
]]>Présentés au CES de 2012 à Las Vegas, les premiers écrans OLED, d’une taille de 55″, seront finalement commercialisés avec plusieurs mois de retard puisqu’il faudra attendre le mois de février 2013 pour faire l’acquisition du premier modèle.
Cette technologie révolutionnaire qui affiche des couleurs plus vivantes que des téléviseurs LED et est capable d’afficher une image 1.000 fois plus rapidement qu’une télévision LED traditionnelle représente un véritable bond en avant pour l’industrie. Bien sûr, tout cela a un prix. La production d’écrans OLED est 8 à 10 fois plus coûteuse que celle d’écrans LCD. Les premiers modèles commercialisés coûteront approximativement 10.000$ et seront disponibles dans un seul et unique format : le 55″.
En Corée, LG a lancé aujourd’hui les précommandes de son modèle 55″, qui arrivera à la mi-février. Le reste du monde sera servi plus tard. En Belgique, les premiers modèles devraient être livrés avant la fin d’année 2013.
Après LG, Samsung devrait être le second fabricant à commercialiser un téléviseur OLED de 55″. L’éternel rival, qui avait interpellé Séoul en évoquant l’espionnage industriel, réclame plus de 880.000 dollars à LG. De son côté, son concurrent estime que Samsung viole six de ses brevets pour un préjudice estimé à 6,26 milliards de dollars. “Cette plainte a été déposée afin de faire valoir les droits à la propriété de LG mais également pour promouvoir une concurrence juste. Samsung Electronics et Samsung Display doivent cesser d’utiliser nos brevets sans autorisation” avait statufié un porte-parole de la firme coréenne à l’époque.
]]>Bien connu des accros de jeux sur les réseaux sociaux, Zynga est devenu l’un des plus gros producteurs de jeux “sociaux”. Sa franchise la plus populaire, Farmville, connait depuis des années un succès gigantesque sur Facebook. Loin de se limiter au réseau social, le studio de développement propose également ses créations sur divers systèmes d’exploitation et exploite le filon mobile depuis quelques mois.
Entré en bourse il y a un peu plus d’un an, Zynga a vu sa valeur descendre en flèche depuis son entrée dans le NASDAQ. Sa capitalisation a été divisée par six et l’entreprise affiche des pertes colossales. La raison de ce fiasco? Des choix stratégiques douteux et surtout l’intérêt du consommateur pour les jeux sociaux, qui commence à s’égrainer. La “belle époque” où Farmville occupait les soirées de millions d’internautes semble désormais très loin.
Pour compenser ces pertes, Zynga restructure ses activités. La société a licencié plus de 150 employés et fermé ses bureaux au Japon. Elle vient également de supprimer onze de ses jeux les plus populaires, parmi lesquels Mafia Wars 2 et Petville, qui comptaient plusieurs centaines de milliers d’utilisateurs mensuels. Enfin, l’entreprise a remplacé la quasi-totalité de ses cadres dirigeants.
Mais cela sera-t-il suffisant pour retrouver la voie du succès? Zynga mise désormais sur la diversité des plates-formes et sur ses franchises les plus populaires pour regagner les faveurs du public. Souvent accusée d’avoir mis tous ses oeufs dans le même panier en misant sur Facebook, Zynga tente de se décrocher du réseau social pour développer son audience. Mais le business model de l’entreprise, basé sur le freemium (jeu gratuit avec contenu payant) montre ses limites.
De leur côté, les utilisateurs des onze titres qui seront prochainement définitivement débranchés de la toile crient au scandale et tentent par toutes les manières d’empêcher Zynga de détruire les univers virtuels qu’ils se sont créés…
]]>Selon le journal japonais Daily Yomiuri, Samsung devrait bientôt dévoiler son premier smartphone fonctionnant sur base du système d’exploitation Tizen. Plusieurs opérateurs auraient déjà sauté à pieds joints dans l’aventure et accepté de collaborer avec Samsung pour le lancement de cet appareil.
Vivement critiqué au cours de ces derniers mois, Android demeure la propriété de Google. Le géant américain a récemment menacé Acer de sévir s’il sortait son CloudMobile sur le territoire chinois. Des menaces qui auraient créé quelques tensions entre les constructeurs de smartphones et le géant de l’Internet, qui garderait la main mise sur son système d’exploitation, contrairement à ce que les nombreux supporters de l’OS affirment.
A plus d’un titre, Tizen, un système d’exploitation libre entièrement supporté par Linux et ayant des bases communes avec Android, pourrait s’imposer comme la troisième roue du carrosse et surtout un féroce adversaire pour Android.
Samsung, qui a pris l’habitude d’investir dans tous les systèmes d’exploitation pour établir sa présence sur tous les marchés, aurait cette fois pris les commandes de Tizen et choisi de prendre le risque d’affronter sur le ring Google. Le retour en force de Motorola, désormais entre les mains du géant américain, aurait également poussé la firme coréenne à prendre ses distances avec Google.
Comme l’évoque la publication, le lancement d’un smartphone Tizen ne devrait en aucun cas affecter l’arrivée du Galaxy S IV, qui devrait être l’appareil phare du constructeur pour l’année 2013.
[ Source : TNW ]
]]>Le réseau social Pinterest a-t-il volontairement volé les idées de Rendezvoo pour bâtir son succès? Attaqué en justice par un certain Theodore F. Schroeder, ex-associé de Brian Cohen, l’un des premiers investisseurs du réseau social, Pinterest devra rendre des comptes à la justice américaine.
Entre 2007 et 2008, Cohen et Schroeder auraient travaillé ensemble sur un concept de réseau social répondant au nom de Rendezvoo. Après le départ de Cohen, le projet est tombé aux oubliettes et Cohen aurait choisi de réutiliser certaines idées sans en demander l’accord à son ex-partenaire.
Selon Schroeder, Pinterest aurait repris le concept de défilement à l’infini, de tableaux et de réseau social visant principalement la gente féminine à son compte. Il rappelle qu’il est “illégal de voler une idée pour son propre bénéfice sans entrer en contact avec le créateur d’un concept.” Cohen ayant délibérément repris les idées de Schroeder dans son propre intérêt, il encourt au même titre que Pinterest de lourdes sanctions.
Le réseau social a pour sa part démenti les accusations de Schroeder, soulignant qu’il combattrait vivement ses avocats en justice.
[ Source : Slashgear ]
]]>En janvier 2013 se tiendra à Las Vegas le Consumer Electronics Show, un salon exceptionnel qui sera l’occasion pour les différents fabricants de dévoiler leurs nouveaux produits au public et à la presse.
Sur son blog “Samsung Tomorrow”, le géant coréen tease l’arrivée d’un téléviseur révolutionnaire, “une réelle innovation en matière de design” qui pourrait changer à tout jamais notre conception des téléviseurs. Le fabricant d’écrans investirait déjà dans la prochaine révolution dans le domaine de l’imagerie, avec des téléviseurs ultra-modernes au design unique qui pourraient disposer d’écrans transparents.
Difficile pour l’instant d’imaginer à quoi pourrait ressembler le prototype de cette nouvelle génération de téléviseurs, qui pourrait très bien être la grosse révélation du salon et couper l’herbe sous le pied de l’OLED, la prochaine génération de téléviseurs présentés tout au long de l’année 2012 par Samsung et son rival LG, qui ne devrait pas arriver avant 2013 sur le continent européen.
[ Source : The Verge ]
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Pour revenir sur scène, Lycos compte sur son nouveau partenaire d’infortune – Yahoo, un ex-géant déchu qui tente également de faire son retour sur scène. Le nouvel algorithme de recherche de la firme permettrait d’obtenir des résultats beaucoup plus précis qu’avec des moteurs concurrents.
Pour le reste, pas un mot sur la date de lancement du nouveau Lycos ni sur les nouvelles fonctionnalités. Le CEO de l’entreprise est bien décidé à ne pas donner un seul indice sur la stratégie de Lycos à la concurrence.
S’il n’espère pas venir inquiéter Google ou Bing, Lycos n’abandonne pas l’idée de redevenir l’un des principaux moteurs de recherche sur le Web. Difficile pourtant de dire si le fameux “Lycos, va chercher!” résonnera à nouveau sur nos postes de télévision…
]]>© DR
Les smartphones “Raku-Raku” de Fujitsu ont été conçus pour les seniors qui ont des difficultés à comprendre le fonctionnement d’un smartphone sous Android et à lire des textes de taille réduite. A l’image des téléphones portables Emporia, ils offrent une expérience utilisateur simplifiée, sur mesure pour les seniors.
Contrairement aux appareils du fabricant autrichien cependant, ils gardent des fonctionnalités propres aux smartphones. Niveau système d’exploitation, on retrouve en effet Android 4.0 sous le capot, avec une poignée d’applications “maison” sur mesure pour les seniors et surtout une interface revue et corrigée pour offrir une meilleure lisibilité.
Niveau fonctionnalités inédites, on retrouve une option qui permet de ralentir la voix de la personne avec qui on communique pour mieux comprendre ce qu’elle exprime, mais aussi un signal sonore plus puissant.
Simples à utiliser, mais offrant néanmoins des fonctionnalités avancées, les smartphones Fujitsu pour seniors devraient être commercialisés en Europe courant 2013. Aucun modèle ni prix n’a été annoncé jusqu’à présent mais Fujitsu ne devrait pas tarder à communiquer quelques détails sur leur disponibilité.
]]>SonicAngel comme terrain d’expérimentation
Il y a deux ans, Bart Becks et son équipe lançaient SonicAngel, une plate-forme de crowd-funding qui a permis à plus de 30 artistes de réaliser leurs rêves. Contrairement à Kickstarter, SonicAngel est une plate-forme qui ne s’intéresse qu’à la carrière de jeunes musiciens ou chanteurs. Pas question donc de financer des gadgets hors de prix ou de jeunes startups dans ce écosystème.
Parmi les artistes figurant dans le line-up de SonicAngel, on retrouve Tom Dice, un jeune chanteur néerlandophone qu’aucun label ne voulait supporter il y a trois ans. Avec deux albums à son actif, une prestation remarquée à l’Eurovision avec “Me and my guitar” et des fans à travers le monde entier, Tom Dice “commence à être un artiste établi.” Lancé grâce à SonicAngel, il est parvenu à s’imposer comme une star montante de la musique en Belgique.
Pour arriver à ce résultat, SonicAngel a conçu un système de crowd-funding qui offre un retour sur investissement exceptionnel pour les participants. “On a un produit qui s’appelle le FanShare. Pour 10€, l’acheteur a droit à un certain nombre de bonus, allant de l’album complet à une entrée pour un concert de l’artiste. Tous les six mois, on fait un calcul du bénéfice total que l’artiste a réalisé et on le partage proportionnellement avec les investisseurs. Entre temps, on a quand même payé 34€ par tranche de 10€ investis” explique Bart Becks.
Le succès de SonicAngel a poussé Bart Becks et son équipe à proposer une alternative pour le cinéma. “Nous avons également lancé une autre plate-forme, Film-Angel. Nous avions sept films sur la plate-forme et les sept ont trouvé un financement. Cela montre qu’il y a un réel besoin et une réelle opportunité pour le business.”
“Le crowd-funding n’est qu’une étape”
L’étape suivante? Une plate-forme beaucoup plus ambitieuse, qui élargit le champ d’action de l’entreprise. “On a démarré avec la musique, mais on a choisi de diversifier nos activités en investissant dans d’autres domaines” explique Bart Becks. “Le phénomène de crowd-funding connait un franc succès. Il a un énorme succès aux Etats-Unis. Angel.me, c’est le financement de projets mais aussi de sociétés.” Évoquée en début d’année déjà dans la presse, la plate-forme Angel.me devrait finalement prendre son envol d’ici quelques semaines tout au plus. Reprenant à peu de choses près le même concept que Kickstarter – un service américain de crowd-funding qui permet aux entrepreneurs de proposer leurs projets aux internautes pour trouver un financement, Angel.me devrait ouvrir de nouvelles portes à de jeunes entrepreneurs.
Divers modes d’investissement sont mis à disposition des entrepreneurs. Tout comme sur Kickstarter, il est possible d’investir directement dans un produit en payant une somme définie qui permettra d’acquérir un exemplaire du produit final. Là où Angel.me innove, c’est dans le fait qu’il propose également de prendre des parts dans de nouvelles entreprises. “Il y a pour le moment beaucoup de jeunes entrepreneurs en Belgique. Il y a un vrai problème avec le capital pour fonder la société, et là le crowd-funding peut s’imposer comme une solution comme premier financement pour faire démarrer une petite startup.”
Contrairement à SonicAngel, Angel.me a un focus national. Il sera également lancé dans une poignée de marchés clés, de l’Asie à l’Amérique du Nord. “En Belgique, on a beaucoup de startups mais pas beaucoup de capital. Je ne crois pas qu’on parviendra à créer quelques sociétés avec 4.000 ou 5.000 sociétés en Belgique. Par contre, créer 300 ou 400 sociétés avec quelques personnes pour gérer ça, c’est possible. Le crowd-funding n’est qu’une étape.”
Bien sûr, le facteur risque sera à prendre en compte. L’investissement n’offre aucune assurance. Si Bart Becks s’attend à ce que certains projets décollent, il rappelle que l’investissement n’est pas un jeu et que ceux qui misent de l’argent sur certains concepts peuvent très bien perdre leur investissement. Angel.me entend néanmoins offrir toutes leurs chances aux jeunes entrepreneurs. “Certains comités seront réunis pour guider les entrepreneurs, mais les entrepreneurs garderont une totale autonomie au niveau de leur projet” nous assure Bart.
Ambitieux, le projet a de quoi éveiller l’attention des entrepreneurs et de tous les types d’investisseurs. Le succès de SonicAngel et Film-Angel montre en tout cas que le crowd-funding fonctionne et peut devenir une solution à part entière de financement en Belgique.
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